Il est assez admirable de voir combien il peut être facile dans toute une série de pays de faire avancer rapidement des projets. Pourtant, bien souvent, ces pays ne sont pas toujours les pays les plus riches de la planète.
Le livre « L’innovation Jugaad » écrit par Navi Radju explore bien cet art de l’ingénierie qui consiste à faire beaucoup avec peu. C’est un des grands principes qui a prévalu à la réussite des économies émergentes du globe.
« Quel est le minimum de moyens à mettre sur la table pour obtenir un résultat ? »
En occident, on nous apprend que si l’on veut vraiment quelque chose, il convient d’y mettre les moyens (financiers, mais pas que…). Que si on veut réussir,… il est indispensable de bien préparer, de prendre le temps de bien réfléchir.
Eh bien, dans notre startup studio, vous verrez que cela ne résonne pas du tout de la même façon.
En d’autres termes, nous sommes convaincus que c’est le résultat qui doit générer et/ou libérer les moyens et non l’inverse.
L’entrepreneur qui arrive avec une petite ou grosse somme d’argent et nous demande de l’accompagner dans son lancement devra signer une charte qui lui interdit d’affecter ses moyens tant qu’un résultat n’aura pas été validé ensemble.
Dans notre parcours, nous avons trop souvent vu des entrepreneurs qui mettaient toute leur énergie dans l’exercice de réflexion sur la meilleure affectation possible de leurs moyens. Ceci, pensait il, afin de garantir le potentiel de résultat final.
Ce focus sur l’affectation des dits moyens fait perdre de vue l’objectif essentiel qui est le résultat. A l’inverse celui qui recherche le résultat, finira par le trouver et en obtiendra les moyens. Celui-là, à quasi 100% de chance de réussir son lancement.
CQFD! Alors n’hésitez pas, contactez nous: c’est ici, BANZAÏ
On vous met une petite vidéo pour ceux qui ont un peu de temps 🙂